Pour différentes raisons, les « programmes » que nous avons enregistrés peuvent toutefois être sous-optimaux ou incomplets.
Ainsi, à l’école, un enfant pourrait devoir fournir un effort important pour des tâches simples en apparence, comme rester droit et immobile sur sa chaise ou tenir son crayon.
Il lui sera alors difficile d’écouter simultanément les consignes de son professeur ou de réfléchir au problème qu’il est en train de résoudre.
Pour mieux comprendre, imaginez-vous en train de manger du riz avec des baguettes chinoises (si vous n’y êtes pas habitué) en même temps que vous essayez de déchiffrer les règles d’un nouveau jeu de société.
Bref un meilleur contrôle postural et moteur « libère » le cerveau afin qu’il se concentre sur d’autres tâches, nouvelles ou plus complexes.
Une réflexion au sujet de « Troubles de l’apprentissage et physiothérapie »
Je trouve cela bien expliqué et très intéressant ! C’est vrai qu’on ne pense pas au départ à la physio, mais ça vaut la peine d’être tenté!